La CSD défend la notion d’équité salariale, car le travail des Québécoises doit être reconnu, apprécié et rémunéré à juste valeur. C’est une question de justice en société.

Source : domaine public.
Source : domaine public.

La Commission d’équité salariale

La Commission d’équité salariale a été créé par la Loi sur l’équité salariale qui  est entrée en vigueur le 21 novembre 1996. Pourtant, en 1998, le salaire moyen des femmes ne représentait que 70 % de celui des hommes. L’intention de la loi a beau être claire, son application connait encore de ratés.

Selon l’information que l’on trouve sur la site de la Commission d’équité salariale (CES), « Ce droit de recevoir un « salaire égal pour un travail équivalent » n’est pas nouveau. Il est présent depuis 1976 dans la Charte des droits et libertés de la personne du Québec

De même, ajoute-t-on sur le site de la CES, «Le principe de l’équité salariale va plus loin que celui « du salaire égal pour un travail égal » (pompier/pompière), puisqu’il exige un salaire égal pour un travail différent, mais équivalent  (secrétaire/mécanicien).»

La position de la CSD sur l’équité salariale

Dans une perspective de démocratisation du milieu de travail, la participation des travailleuses et des travailleurs à l’implantation d’un programme d’équité salariale et d’évaluation des emplois est essentielle et grandement favorisée par la CSD.

L’évaluation des emplois selon la CES

Pour en savoir plus sur ce sujet

Le site de la Commission d’équité salariale